Lorsque je mets en place un placement avec mes clients, il y a une chose sur laquelle je dois faire de la pédagogie.
Les frais.
Beaucoup de gens en sont allergiques. Et c’est bien normal… Car plus on paie de frais, moins il en reste sur votre plan d’épargne.
Le problème, c’est que de nombreux épargnants regardent au mauvais endroit… et ignorent la liste de frais cachés.
Depuis des décennies, les banquiers et autres conseillers financiers se sont littéralement gavés en frais.
Et ils ont su faire preuve de beaucoup d’imagination sur leur petit nom.
Les frais sur les versements…
Les frais de tenue de compte et les frais de gestion…
Les frais de surperformance… On vous donne plus que prévu, normal qu’on prenne une part du gâteau, non ?
Les frais de sortie… Bah oui, plus vous hésitez avant de partir, plus on peut continuer à se servir…
Dans une économie en forte croissance et une bourse haussière, cela passait inaperçu : 1% par ici, 3% par là… Il en restait quand même pas mal à l’investisseur à la fin de l’année.
Sauf que…
Les rendements sans risques se sont écroulés ces dernières années. Les frais ne passent plus inaperçus à présent…
La solution ?
Cacher la crasse sous le tapis.
Autrement dit, communiquer sur les performances nettes de frais.
Au lieu de vous dire : 5% de performance brute diminuée de 2% de frais…
On affiche fièrement : 3% de performance. Point.
L’Union Européenne a fini par prendre conscience de ce petit jeu d’écriture comptable… Et a lancé la directive MIF 2… Qui n’empêchera malheureusement pas les requins de la finance de dicter leurs propres règles.
Et continuer à raser la plupart des épargnants.
Par exemple, en supprimant totalement les frais sur versement et en augmentant sournoisement les frais de gestion…
Indolore à court-terme mais toxique sur 10 ou 20 ans.
(Si vous voulez creuser, j’avais publié un article dans le Journal du Net).
Ou en ne référençant que des produits en fonction de leur commission pour la banque et non de leur performance…
Et finalement, le conseil financier, indépendant, est oublié. A croire que seul le produit en lui-même compte… alors que la valeur ajoutée vient principalement du conseil.
Des exemples de clients qui ouvrent des assurances-vie et s’aperçoivent 15 ans plus tard que l’encours est n’a pas bougé (pire à baissé…) alors que les marchés ont généré un +100%…
…J’en ai malheureusement beaucoup trop.
Si vous êtes dans ce cas, je vais vous faire une confidence…
En réalité, votre placement a été très rentable.
Mais pour votre banquier.
…
Pas pour vous.
Car aucun service n’a été rendu pour ces frais généreusement prélevés.
Pas un seul coup de fil en 10 ans.
Ne serait-ce pour dire que votre placement est trop risqué ou pas suffisamment rentable… Qu’il faut alléger les fonds dynamiques parce que les marchés sont hauts… Ou qu’il faut se positionner sur de nouvelles valeurs à prix intéressant.
La plupart du temps, les frais sont excessifs.
Surtout les frais récurrents, comme les frais de gestion.
Que vous devez regarder avec attention.
Car ils sont prélevés tous les ans…
Et viennent ronger votre épargne petit à petit.
Comme tous les conseillers financiers et autres intermédiaires, je facture des frais sur mes assurances-vie, plan d’épargne retraite…
1 / De manière transparente.
2 / Indépendamment des fonds proposés : je suis investi moi-même sur tous les fonds que je propose.
3 / Pour le service de conseil rendu qui permettra d’avoir de meilleures performances.
4 / Et surtout, avec une structure de frais adaptée sur le long-terme : peu de frais récurrents avant tout.
Ce sont les 4 choses que vous devez vérifier chez votre banquier ou conseiller lorsque vous ouvrez un plan d’épargne chez lui.
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