La gestion ou la création de patrimoine, c’est comme une course automobile.
Dans un endroit que vous ne connaissez absolument pas.
Comme pour n’importe quelle course, vous devez partir d’un point A et aller à un point B.
Le point de départ, c’est votre patrimoine actuel. Ce que j’appelle aussi le « stock ».
Le point d’arrivée, c’est le patrimoine que vous ciblez pour réaliser vos objectifs : obtenir un revenu complémentaire à la retraite, financer les études de ses enfants, obtenir un capital à terme etc.
Pour vous déplacer, vous avez besoin de plusieurs choses.
Tout d’abord, d’une carte… Ou d’un GPS pour les plus modernes d’entre nous. C’est-à-dire une stratégie patrimoniale qui vous permettra de prendre le bon chemin.
D’un véhicule.
Ca peut être une assurance-vie, un bien immobilier en LMNP ou en loi Pinel. Bref, une solution financière pour vous faire arriver à bon port.
Mais aussi d’essence pour faire avancer votre voiture. Ce que j’appelle aussi les « flux ». Ou tout simplement, votre capacité d’épargne.
Vous l’avez compris.
Mon métier consiste tout d’abord à mieux connaître le pilote. D’où il part et où il souhaite aller.
Je programme son GPS et lui conseille un bolide adapté.
Une citadine est parfaite pour un investisseur qui ne veut pas trop prendre de risques. Elle est relativement fiable et ne consomme pas trop, ce qui permet d’aller assez loin avec peu de carburants.
Par contre, si celui-ci est un peu plus « tête brulée », je rajoute des chevaux dans la bécane et je lui conseille de prendre l’autoroute.
Oh, bien sûr, la route ne sera pas toujours tranquille…
Il y aura peut-être des crevaisons, de la tôle froissée, voire des sorties de route…
Mais je serai toujours disponible pour le dépanner ou changer quelques pièces de sa voiture si celle-ci ne fonctionne pas aussi bien que prévue.
Il y a plusieurs années, bien avant de me reconvertir dans la gestion de patrimoine, je pensais que mon master en Finance et les quelques informations récupérées sur Internet me suffiraient à être le meilleur pilote.
Avec le meilleur sens de l’orientation.
Une maîtrise totale de ma voiture.
Une conduite extraordinaire.
En fait, pas du tout.
J’ai d’abord conduit une voiture trop puissante sans savoir où aller : un PEA avec des actions très volatiles.
Puis un 4×4 en pleine ville : ça n’avançait pas et buvait beaucoup de carburant (entendez une assurance-vie dans une banque en ligne : peu performante et truffée de frais opaques).
Autour de moi, beaucoup de chauffeurs dans des situations similaires : une 2 CV pour gravir une montagne… une Ferrari dans un chemin de campagne…
Vous aussi, vous pensez ne pas avoir la bonne voiture ?
Ou vous ne savez pas quel est le bon chemin ? Ou la ligne d’arrivée ?
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